De l’écriture pour rester sobre?

Dans un monde en perpétuelle évolution, trouver l’harmonie et l’épanouissement est une quête essentielle. Nous aspirons tous à être bien, sereins et en bonne santé, tout en évitant les pièges de la maladie et du mal-être. Cet article, issu d’un atelier d’écriture créative, explore mes préférences, aspirations et réflexions personnelles. J’ai reconnu les bienfaits des soutiens, professionnels de santé et proches, tout en constatant les défis du système de santé actuel. La nécessité de prendre du recul, d’apprécier la musique sans excès, de nourrir ma fascination pour l’univers et de préserver l’espoir sont autant de pistes abordées pour cultiver un mode de vie équilibré en accord avec moi-même. L’objectif de cette séance était d’alterner j’aime/j’aime pas et de mettre un lien entre chaque phrase. Exercice très intéressant.
Le texte
J’aime.
J’aime être bien, serein, en bonne santé.
Mais je n’aime pas être malade et mal dans ma peau.
J’aime ne plus vivre ça.
Mais je n’aime pas dégrader ma santé.
J’aime ceux qui ont pu m’aider, amis comme professionnels de santé.
Mais je n’aime pas l’état dans lequel est le système de santé aujourd’hui.
J’aime m’informer et débattre sur la politique qui a ruiné le service public.
Mais je n’aime pas l’immobilisme qui est en face.
J’aime m’autoriser parfois à être immobile, tranquille, pour faire le point sur la vie.
Mais je n’aime pas l’idée de gâcher mon temps.
J’aime savourer de la musique.
Mais je n’aime pas quand elle me casse les oreilles.
J’aime Beethoven.
Mais je n’aime pas Chopin.
J’aime Rammstein.
Mais je n’aime pas le métal.
Par ce que j’aime les mélodies.
Mais je n’aime pas ce qui est agressif.
J’aime la puissance d’une fusée au décollage.
Mais je n’aime pas que certains imagine qu’on est jamais allé sur la lune.
J’aime réaliser que la terre n’est rien dans l’univers et que ne nous sommes rien sur la terre.
Mais je n’aime pas ceux qui pensent pouvoir se passer de la nature.
J’aime l’espoir.
Mais je ne veux pas être déçu.